« Voyageur, le chemin n’existe pas, c’est en marchant que se construit le chemin » Antonio Machado
FORMATION :
• Formations de base : formation triple en psychologie, sciences politiques, histoire de l’art .
• Formations complémentaires : AT, PCM, PNL, gestalt, approche systémique, approche centrée sur la personne rogérienne.
FONCTIONS ACTUELLES :
• Professeur à la faculté catholique de Lille depuis 1992, à Paris X en DESS de RH.
• Intervenante au groupe HEC depuis 2002, co-créateur de l’école de coaching [HEC] en 2002, créateur et directeur pédagogique du programme de leadership HEC en partenariat avec l’Université Bertelsmann en 2003.
• Conseil en Ressources Humaines et en organisation depuis 1984.
• Membre fondateur d’honneur de [l’Association Européenne de Coaching ]en 2005.
• Créatrice du DFFSU de coaching à l’Université Paris VIII avec Pierre Angel en 2005.
• Créateur du programme de leadership du groupe Saham en 2009.
DOMAINES D’INTERVENTION :
• Formation au coaching, au management et au leadership.
• Accompagnement de dirigeants et coaching individuel.
• Cohésion d’équipe et coaching collectif.
SPECIALITES, EXPERTISE :
• Coaching de croissance ou de crise et de connaissance de soi : travail sur le scénario professionnel et les talents : comment se rapprocher de sa mission et de ses priorités lors d’une rupture professionnelle positive ou négative entraînant une crise identitaire ?
• Gestion du temps et du stress pour dépasser ses difficultés relationnelles : tout changement implique des deuils : comment trouver ses ressources pour que le plaisir de la découverte soit supérieur à l’angoisse de perte ?
• Leadership et pouvoir : comment analyser ses expériences de management pour développer son influence avec clarté, conviction et dynamisme : comment percevoir son environnement de façon positive et aborder le changement de façon consciente et confiante ?
EXPERIENCES PROFESSIONNELLES :
Directeur de la communication, Louis Féraud, 1976-1986.
Directeur du Centre de Formation et d’Innovation, 1986-1996.
Président de la Société Française de Morphopsychologie, 1996-2003.
Cofondatrice de Triangle Conseil avec Edouard Fenwick, 1999.
Directeur Général MRB Conseil, 2003.
OUVRAGES :
• Que sais je, No 277, La morphopsychologie, Editions P.U.F, en collaboration avec J.P Jues, D.R.H du groupe Nestlé. 2000.
• Le coaching, moins de stress plus de réussite, Edition Bernet, en collaboration avec E Fenwick, 2002, réédité en 2003.
• Le management au féminin, promouvoir les talents. Editions Robert Jauze. 2005.
• Le management au féminin, Edition Robert Jauze, 2005.
• La psychothérapie de groupe humaniste, Editions Bernet, en collaboration avec C. Gelman. 2006.
• Dico-guide du coaching, Edition Dunod, collectif coordonné par P. Angel. 2007.
• Coaching et nouvelles dynamiques managériales, Edition Ellipses, 2008.
• Coacher avec la psychologie bouddhiste, pacifier sa relation au pouvoir, octobre 2008, Eyrolles.
• Entreprise, mode d’emploi, Larousse 2010.
• Le grand livre de la supervision, Eyrolles 2010.
• Développer votre capacité d’influence, Edition Ellipses, 2011.
• Réussir dans un monde incertain, Edition Ellipses, 2012.
• Artistes et mécènes, regards croisés sur l’art contemporain, Editions Ellipses 2013.
• Les esprits des Vallons, avec Claude Mollard, Beaux Arts, 2014.
• La forêt parallèle, avec Claude Mollard, Beaux Arts, 2015.
• La collection Durand Ruel revisitée, avec Claude mollard, Beaux Arts, 2015.
SIGNATURE :
Pour le coaching individuel : En m’appuyant sur les points forts de mon client, en instaurant un dialogue et une négociation entre les différentes parties qui l’habitent, mes interventions ont pour but de l’aider à comprendre ses besoins, à harmoniser ses aspirations personnelles et son parcours professionnel, à développer son autonomie et sa créativité et à augmenter son seuil de résistance au stress.
Pour le coaching collectif : Mes interventions ont pour objectif de trouver un cadre commun aux différentes visions du monde des membres d’une équipe. Elles permettent de trouver des rites pour générer des mythes afin de redonner un sens à l’action collective pour se tourner vers le futur, en clarifiant les rôles, les règles, la communication, en se centrant sur les réussites et élaborant des engagements.
Elles contribuent à mon propre développement et progression de coach par la diversité des problématiques élaborées dans une logique de co-responsabilité.
PEDAGOGIE :
Ma pédagogie repose sur 3 piliers : des idées, des valeurs et un type d’énergie.
Une vie professionnelle se construit à partir d’une histoire personnelle. Mon histoire m’a guidée vers le sens du service et le sens de l’indépendance.
Mon idée force, c’est de promouvoir le coaching et le management au féminin.
Etant experte de la survie et du rebondissement en milieu incertain, je veux être le cabinet spécialiste d’un coaching et d’un management nouveau pour intégrer le masculin et le féminin en soi, défi majeur de notre siècle, afin de développer des stratégies autonomes et créatrices pour s’adapter à la complexité.
Mes valeurs clés reposent sur l’étymologie de mon prénom, Martine vient de Mars qui veut dire guerrière, je suis une croisée !
J’ai confiance en moi en connaissant mes limites, je suis concentrée sur mes priorités et quand j’ai décidé, je suis combative pour atteindre mes objectifs.
Ces trois valeurs : confiance, concentration, combativité sont également des valeurs que j’aide mes coachés à développer pour ouvrir les perceptions, faire grandir dans la parité et combattre les positions figées pour utiliser tous les talents et " performer ".
Mon type d’énergie se caractérise par SAS : sécurité, audace, surprise.
Ce qui me motive, c’est la création, j’aime construire mes séminaires comme un voyage à la rencontre de soi et de l’autre pour que chacun reparte sécurisé et dynamisé.
Ma métaphore : pour exprimer ma mission d’ accompagnatrice du dirigeant dans la jungle du pouvoir. Le livre de la jungle : " j’aurai une tribu à moi que je conduirai à travers les branches " disait Mowgli.
Les objets de mon talent : " Baghera " : une énergie d’intervention pour accompagner, " Shiva " : et aider à créer un monde en dansant.
Mon rêve serait de remplacer la " jungle des crapauds " par le " royaume des princes " pour dialoguer dans le Plaisir, la Liberté et le Respect . Etre une " princesse coach " implique de garder ce regard inconditionnel positif qui révèle le coaché à lui même.
De plus en plus international : les Français achèvent le premier cycle complet du "Leadership Program"
Paris / Gütersloh , 2/21/2006. “Rien que les échanges avec les collègues de Bertelsmann ont donné une nouvelle impulsion à ma créativité et mon esprit d’entreprise“ – Lorsque Jean-Jacques Deleeuw, directeur de RTL Radio en Belgique, parle de sa participation au “Leadership Program” de la Bertelsmann University, il le fait en des termes très élogieux, en soulignant que ce séminaire en trois parties lui a apporté clarté, nouvelles connaissances et plus d’ouverture d’esprit. Et ce qui est vrai pour Jean-Jacques Deleeuw l’est aussi pour les huit autres participants. Ensemble ils forment le premier groupe en langue française de cadres dirigeants de Bertelsmann à avoir suivi les trois modules du “Leadership Program” issu du cours de base “Führen“ (Diriger), établi depuis longtemps en Allemagne.
Après les Etats-Unis et l’Espagne (voir l’article du Be-Net), la France est désormais le troisième pays en dehors de l’Allemagne où au moins un cycle complet du “Leadership program”, adapté aux exigences particulières de chaque pays, a pu être achevé avec succès. Pour la Bertelsmann University il s’agit là d’une étape importante de sa stratégie pour ancrer le programme au niveau international et, avec lui, les bases de l’art de diriger en partenariat propre au groupe Bertelsmann. Et la prochaine étape est imminente : “En Grande-Bretagne, nous lancerons les premiers pilotes à l’automne“, déclare Christine Scheffler, responsable du “Leadership program” de la Bertelsmann University. Elle ajoute qu’actuellement Bertelsmann est en train de choisir un partenaire externe adéquat pour réaliser les séminaires – vraisemblablement une Business School.
Et c’est justement avec ce modèle – une Business School qui fournit les animateurs – que la Bertelsmann University a fait une expérience positive en France. “Nous coopérons avec la célèbre grande école qu’est HEC“, déclare Cristine Scheffler. “Le fait que cet institut ait finalement co-signé nos diplômes a une importance considérable en France.“ C’est aussi grâce à cela que le scepticisme de d épart quant à l’accueil de ce programme en France s’est vite et durablement estompé, poursuit-elle. “Les neuf participants qui ont suivi en commun les trois premiers modules viennent de tous les secteurs d’activité de Bertelsmann présents en France.“ Et aujourd’hui, après le lancement du cinquième groupe de participants, le “Leadership Program” est bien établi dans les services du personnel de tous les secteurs d’activité, se réjouit Christine Scheffler.
Les cadres dirigeants se rencontrent trois fois trois jours dans des relais-châteaux autour de Paris, spécialisés dans l’organisation de séminaires. Dans la première partie du cours, ils abordent leur propre personnalité comme cadre dirigeant. Dans le deuxième module, c’est l’équipe à diriger qui est au centre des débats, et au troisième, l’organisation dans laquelle évolue le cadre dirigeant. En dehors des connaissances et des compétences transmises par les deux animateurs, le séminaire vit, en France comme dans les autres pays, des échanges des participants entre eux et du travail sur des cas les plus concrets possibles. Jean-Jacques Deleeuw ajoute encore à ce propos : “Le fait que les différentes techniques et théories aient été appliquées à des cas personnels concrets m’a permis d’aligner mes idées et ma théorie sur celles des autres participants.“
Axel Ganz est l’un de ceux qui a trouvé sa voie et qui peut et veut transmettre une grande partie de son savoir aux jeunes cadres dirigeants. Le célèbre éditeur de magazines et ancien membre du directoire de G+J a été l’un des seniors managers dont la visite est un élément obligatoire du “Leadership Program”. En dehors de lui, la Bertelsmann Universtiy a aussi accueilli aux séminaires proposés jusqu’ici en France des directeurs des autres entreprises du groupe en France. Leurs échanges avec les cadres dirigeants de demain n’ont pas seulement fourni de précieuses idées aux deux parties– ils font eux-mêmes partie de la culture du partenariat de Bertelsmann qu’il faut transmettre. (mh)
Lettre BR HEC 2008
Psycologies avril 2010
Martine Renaud Boulart La passion des autres
Sa vie professionnelle, cette coach de dirigeants l’a commencée à 50 ans. Après vingt années passées comme mère au foyer. Aujourd’hui, Martine Renaud-Boulart forme de futurs leaders à un management éthique, empruntant à la fois au masculin et au féminin.
Margaux Rambert
Sommaire
Le coaching, une rencontre
Etre mère, le plus grand rôle
L’enfant en bonne santé, l’étrangère
Yin et Yan
Il émane d’elle une infinie douceur. Mais derrière sa silhouette frêle et sa voix tendre, Martine Renaud-Boulart est une battante. A 48 ans, cette mère au foyer se retrouve seule avec ses deux enfants. Elle qui, vingt ans plus tôt, s’était arrêtée de travailler pour les élever. Forcée de se relancer dans la vie professionnelle, elle choisit de s’intéresser aux entreprises. « Ces sociétés humaines, ces lieux de réalisation » l’ont toujours fascinée. Aujourd’hui, Martine a 63 ans. Elle est coach de dirigeants.
Co-fondatrice de la première école de coaching du groupe HEC, elle ne cesse de promouvoir un management juste et éthique. Chez EDF, elle a créé le premier programme de leadership au féminin. Le principe : « aider les futures dirigeantes à trouver leur place dans les entreprises avec leur identité de femme, et à parvenir à concilier vie personnelle et professionnelle. » Un programme qui, bientôt, sera ouvert aux hommes. « Car un bon dirigeant doit être à la fois masculin et féminin, savoir utiliser l’énergie d’attaque et d’écoute », explique cette coach qui considère avoir un « regard davantage féminin que féministe ».
Le coaching, une rencontre
Ses « coachés », Martine les reçoit souvent dans sa maison de famille, à Garches (92). Dans son bureau, trônent des souvenirs de multiples voyages. Sur une table, une statuette du titan Atlas, soutenant le monde sur ses épaules. « C’est une mise en garde pour moi : s’il veut que la personne coachée devienne autonome, le coach ne doit pas la porter. » Plus loin, une tête de la déesse Athéna côtoie Shiva ou encore Voltaire, l’un de ses « héros ». « C’est un exercice de coaching : réfléchir aux personnages d’exception qui vous habitent. Généralement, la personne a les qualités des héros cités ». Les siens : son père, ses enfants, Marie Curie, « pour sa ténacité, son courage, son côté pionnier », Voltaire « pour sa malice », Louis Corman « pour son invention de la morphopsychologie »…
Martine n’est pas devenue coach sur un coup de tête. C’est une autodidacte. Tout en élevant ses enfants, elle reprend des études de psychosociologie. Préside associations et sociétés savantes. Sa passion : les gens. « A chaque coaching, il y a cette magie de la rencontre. J’aime ce lien de profondeur qui se crée entre la personne coachée et moi. Un jour, mon fils, anthropologue, a voulu comprendre mon métier. Il est venu m’assister. A la fin, il m’a dit : ‘nous faisons la même chose, nous cherchons à comprendre des cultures ou des fonctionnements différents. A faire en sorte qu’ils puissent cohabiter au mieux’ ».
Etre mère, le plus grand rôle
Dates clés
Depuis 2002 : Intervenante au groupe HEC, co-créateur de l’école de coaching HEC
2005 : Membre fondateur d’honneur de l’Association Européenne de Coaching
2005 : Créatrice du DFFSU de coaching à l’Université Paris VIII avec Pierre Angel
L’harmonie, Martine l’a toujours recherchée. Petite, elle rêve d’entrer au couvent. « Pour moi, c’était un lieu de paix, de calme. Je crois que je recherchais une forme de complétude. Aujourd’hui, je l’ai trouvée. En moi. » Elle qui fut pourtant si souvent en proie à la peur. Peur que ses enfants soient malades, comme l’avaient été ses deux petites sœurs, atteintes d’épilepsie et d’anorexie. Peur de l’avenir quand elle se retrouve seule, son mari parti pour une autre. Peur de ne pas être à la hauteur dans sa vie professionnelle tardive. Mais Martine ne s’est jamais laissée abattre.
A la fin de ses études de sciences politiques, elle obtient un poste au service de communication d’une maison de haute couture. Puis, elle choisit de s’arrêter pour élever ses enfants. « J’ai voulu tout faire pour qu’ils soient sains et qu’ils se développent au mieux. C’est pour les y aider que j’ai étudié la psychologie. Je me suis beaucoup plue dans ce rôle de mère. Pour moi, il n’y en existe pas de plus grand. » En 1999, elle divorce. Une deuxième vie commence. « Quand mon mari est parti, j’ai eu, pendant un temps, peur de tout. Maintenant, je le remercie. Cela m’a donné la rage de m’en sortir et a amélioré la confiance que j’avais en moi. Je suis beaucoup moins vulnérable maintenant. » Cette force qu’elle tente aujourd’hui de transmettre à ses coachés, Martine la doit à un livre. Un ouvrage : Le management au féminin, promouvoir les talents (Robert Jauze), un recueil de témoignages de femmes dirigeantes, qu’elle publie en 2005. « Pour moi, ce livre a fait office d’une sorte de thérapie. Quand je me suis retrouvée en difficulté, j’ai voulu rencontrer d’autres femmes qui avaient vécu des choses encore plus difficiles, et savoir comment elles avaient fait pour s’en sortir. »
L’enfant en bonne santé, l’étrangère
A cinquante ans, Martine, qui pensait devoir dépendre d’un homme toute sa vie, découvre qu’elle peut être autonome. Ce dont, toute jeune, elle avait déjà fait l’expérience : « J’étais l’enfant en bonne santé. Mes parents me faisaient sentir que je ne devais rien demander et me débrouiller toute seule ». Martine a dû grandir rapidement. Trop peut-être. Son enfance, elle la passe entre l’Afrique et le Moyen-Orient. Du Cameroun à l’Iran, en passant par le Sénégal, l’Inde, l’Afghanistan… Son père est diplomate et la famille le suit dans ses missions. « Le monde était mon pays. Cela m’a rendue très curieuse. Mais partout, j’étais la petite nouvelle. Je détestais cela. Je faisais tout pour m’intégrer rapidement. C’est peut-être pour compenser ce manque de stabilité que j’habite cette maison depuis 35 ans. » Et que ses enfants feront leur scolarité dans la même école.
Sur un mur de cette maison où ils ont passé leur enfance, une photographie de classe. Celle du père de Martine, à l’école coloniale. « J’avais beaucoup d’admiration pour lui. Il était important. » Et de se souvenir de sa fascination quand les gendarmes apportaient à son père des lettres des ministres. Martine l’avoue : les gens importants l’ont toujours intéressée. Ce n’est sans doute pas un hasard si elle a choisi de former de futurs dirigeants. « C’est peut-être parce que petite, je n’étais pas malade ; j’étais l’étrangère. Je n’étais pas importante. Pour moi, c’est un sentiment essentiel pour établir la confiance en soi. Et pour ensuite développer une influence saine, garante d’un pouvoir sain ».
Yin et Yan
Dans la philosophie chinoise, le Yin et le Yan sont les deux aspects opposés et complémentaires de tout ce qui existe. Le Yin, c’est la terre, l’ombre, l’eau, la féminité… Le Yan, le soleil, la lumière, la sécheresse, la masculinité…
Encore cette fameuse harmonie si chère à Martine Renaud-Boulart. Pas étonnant qu’elle prône sans relâche l’équilibre entre ces deux impulsions complémentaires que sont, dans la philosophie chinoise, le Yin et le Yan. Un message qu’elle tente de faire passer lors de formations aux jeunes dirigeants. « Trop souvent, ils s’épuisent dans le yan contre le yan. Etre leader, c’est faire appel au Yin et au Yan. C’est construire des alliances en étant habile, éthique et en ayant un comportement juste. En prenant appui sur le territoire de l’autre, comme au jeu de go, plutôt qu’en l’affrontant. »
En quelques années, Martine a rattrapé ces vingt années passées en tant que mère au foyer. Et compte bien continuer. « J’ai peur de la retraite. Pour moi il est impossible de commencer une journée sans avoir de projets. » Dans un rire, elle ouvre son agenda, rempli de rendez-vous. « Maintenant, j’ai envie de me consacrer à ma vie professionnelle, de continuer à aider ces jeunes femmes, ces DRH, ces dirigeants. Je n’ai pas envie d’être grand-mère tout de suite ! ».
Commentaires
souslesoleil, 40 ans
Bonjour, J’aimerais aussi pourvoir être coach pour entreprises comme Martine. J’ai 47 ans, je vis en Belgique, proche du Nord de la France, et j’ai, en plus d’une formation scientifique et commerciale, une formation pédagogique et comme coach en techniques de communication, de négociation et de techniques de vente. Pas spécialement de formation poussée en psychologie. J’assure parfois des coaching mais plus au niveau de particuliers ou d’équipes de vendeurs en tant que Manager. Que me recommandez-vous pour pouvoir accéder à un tel job ? Je suis émerveillée par tant de courage, de détermination et de réussite. Isabelle
catherine64
Bonjour, l’artile sur Martine me donne en plus envie de me m’investir dans ce domaine. Comme elle j’ai renoncé à ma vie pendant 15 ans pour élever mes trois enfants. Je me suis tellement oubliée dans cette vie a suivre mon mari dans sa carrière que j’ai fait une profonde dépression. La rage de m’en sortir m’a permis de rebondir et une analyse de 6 années m’a donné la confiance qui me manquait. Aujourd’hui je travaille dans les ressources humaines dans un ministère mais j’aimerais avoir le courage d’aller plus loin et d’aider les autres à prendre le bon Chemin dans leur vie en les guidant. Cathy
bene78
Etre accompagnée par Martine dans son développement professionnel et personnel est une expérience tres enrichissante et source de bonheur, d’affirmation de soi, en particulier pour une femme ! Son vécu raconté ds cet article lui donne une grande force associée à une douceur bienfaisante, qu’elle se plait à transmettre.
Jacque2
Un vrai plaisir que lire cet article intime sur "ma" coach que j’ai énormément appréciée. Dirigeant dans une entreprise,ingénieur de formation, j’envisage une reconversion vers cette activité de coach, car, comme Martine, la retraite est un mot qui ne me convient pas. Cet article est un stimulant pour s’engager dans cette voie,riche de 1000 découvertes, et dont Martine sait nous indiquer ou ouvrir les portes.
Martine Boulart est la mère de deux enfants : Julien Nénault, professeur de Sciences politiques et consultant, Docteur Anne-Louise Sarfaty-Boulart, chirurgien réparateur.